Scholars have contested the use of Lady in team nicknames since the 1980s, as the practice might suggest otherness and inferiority (Eitzen & Zinn, 1989). This study is set in the context of the 2012 merger of the women’s athletic departments at the University of Tennessee and the 2014 announcement that the university would eliminate the Lady Vols brand for all sports but women’s basketball. The latter decision has been met with resistance and applause from various parties. Using textual analysis of voices of athletes and comparing and contrasting them with perspectives of scholars, this study suggests a reading of Lady and Lady Vols as polysemic text with coexisting and competing cultural interpretations.
Les universitaires ont contesté l’utilisation du terme Lady dans les surnoms des équipes dès les années 80, étant donné que cette pratique pouvait suggérer l’altérité et l’infériorité (Eitzen & Zinn, 1989). Cette étude s’inscrit dans le contexte de la fusion des départements sportifs de l’Université du Tennessee en 2012 et de l’annonce faite en 2014 que l’université supprimerait la marque Lady Vols, hormis pour le basket féminin. Cette décision a rencontré des résistances et des applaudissements de la part de différentes parties. En se basant sur une analyse textuelle des positions prises par des athlètes et en les comparant et les contrastant avec les perspectives d’universitaires, cette étude suggère une lecture des termes Lady et Lady Vols comme un texte polysémique avec la coexistence d’interprétations culturelles concurrentes.